Spider-Pig, Spider-Pig. Does whatever a Spider-Pig does. Can he swing from a web? No he can’t, cause he’s a pig. Look out! He is the Spider-Pig!
Auteur
Message
Alice Hodgins
◊ STATUT : À quoi bon, je suis bientôt ménopausée, j'ai 30 ans, je ne suis qu'une vieille peau. ◊ TU DORS OÙ CE SOIR ? : Dans mon lit, tout seule puisqu'aucun homme ne veut de moi. ◊ AVATAR : Jaime GORGEOUS King ♥ ◊ CRÉDIT : avatar by shiya ; sign by wood spoon
Sujet: Spider-Pig, Spider-Pig. Does whatever a Spider-Pig does. Can he swing from a web? No he can’t, cause he’s a pig. Look out! He is the Spider-Pig! Lun 27 Jan - 16:07
alice hodgins
« feat. jaime king »
Hey l'asticot ! Tu veux un bonbon à la menthe ? Bah réponds d'abord à mes questions, c'est pour savoir si t'es fiable. Commence par me dire ton nom l'zigoto ! « Alice Hodgins. Je sais combien mon nom est ravissant, merci de le redire encore. Et Hodgins, ça claque ! » La loose ! Ensuite, dis-moi comment les autres t'appellent. « Oh j'entends souvent dire "miss perfection", ou encore "la psycho" ou même "l'autre folle", bien évidemment il y a le classique "la blonde" ou encore "blondie". Et pour finir "ma femme" de la part de la meilleure : Aspen. » Pauv' toi. Maintenant je veux savoir ta date de naissance, et lésine pas sur le lieu ! « Je suis née à Bloominghton, le 28 juillet 1984 (je vais bientôt avoir trente ans). » T'es pas gâté toi. Et en plus bientôt retraité, t'es juste bon à jeter ! Bon alors, faut aussi que tu m'dises sur quoi t'es branché. « Je le sais que je suis bonne à jeter, pas la peine de remuer le couteau dans la plaie, euké !! J'aime les hommes. Mais c'est à croire qu'ils ne m'aiment pas... » Boooooring. C'est pas tout, dis-moi ce qu'il en est de tes relations. « Je suis célibataire, vas-y moque toi encore ! » Heureusement pour les autres ! Par contre ta tête ne me parle pas, redis-moi depuis quand tu es là. « Oh, ça fait un petit moment déjà que j'ai débarqué en panique totale chez ma femme, Aspen, parce que j'avais réduit en cendres l'appartement de mon ex après qu'il m'ait largué comme une chaussette sale dans un restaurant. Bref, ça fait un petit moment. » J't'ai à l’œil, n'touche pas à mes noisettes ! Je trouverai toujours un moyen de te châtier. Tu deales quelle genre d'affaires déjà ? « Je ne deale rien. Je tiens une boutique de pâtisseries, Alice aux pays des délices, et ça marche plutôt bien. » Qu'est-ce que je m'ennuie ici. Parle-moi un peu de toi. « Je suis quelqu’un qui fait très attention aux détails, j’aime que tout soit parfait, bien à sa place, bien rangé, bien organisé, bien réalisé. Parfait quoi. Une perfectionniste ? Oh non pas du tout, je veux juste que tout soit nickel ! J’ai le goût du détail, c’est tout. Maniaque tu dis ? MAIS ARRÊTE PAS DU TOUT !!! Tu n’écoutes donc rien ! J’aime juste que tout soit parfait. Ordonnée, voilà. Je suis ordonnée. Comment ça je ne suis pas objective ? Je sais très bien ce que je vaux ! Je suis optimiste, généreuse, prévoyante, j’aime animer les conversations, j’adore ma famille, je suis maternelle, je suis adorable. Que dis-tu ? Pas du tout modeste ? Non mais je ne te permets pas ! Bon j’entends déjà Aspen dire que je suis chiante, manipulatrice, excentrique, bavarde, chieuse… Mais c’est faux hein. Il ne faut pas l’écouter. Bon tu as terminé ? J’ai un programme chargé. Je dois d’abord aller surprendre tout le monde avec ma venue, me faire acclamer et ensuite trouver l’homme de mes rêves, le père de mes futurs enfants. Quoi ? JE NE SUIS PAS MANIAQUE NOM D’UNE CHAUVE-SOURIS !! » Ça envoie du lourd... ! Une dernière avant ton bonbon à la menthe, dis-moi qui se bat pour toi. « Monica. » Ok, tiens le voilà ton bonbon à la menthe !
Question pour un champion !
Qui de la poule ou de l’œuf est venu en premier ?
Chez vous, impossible de dîner en famille sans ?
Dans votre sac de voyage, vous avez déjà rangé ?
Pourquoi un corbeau ressemble-t-il à un bureau ?
Le soir, vous vous détendez devant votre émission de télé préférée ?
La dernière fois que vous avez fait l'amour, c'était ?
dis-moi ce que tu caches sous ton tablier
pseudo : catsoon . présence : aussi souvent que possible . le secret d'alvin : ALVIN. commentaire sur le forum : tellement ravie qu'il reprenne du poil de la bête après cette pause où l’as-tu découvert : la question ne se pose plus . pfff, dis entre toi et moi, t'as bien une préférence parmi les admins ? bon moi j'voterais pour moi (Sheldon) et après Alvin, les quatre autres sont des proies trop faciles. On les met trop rapidement dans le lit, ils préfèrent leur vie remplie de pêchés que la science :moi évidemment Je les aime toutes .
CODES BY CATSOON
Alice Hodgins
◊ STATUT : À quoi bon, je suis bientôt ménopausée, j'ai 30 ans, je ne suis qu'une vieille peau. ◊ TU DORS OÙ CE SOIR ? : Dans mon lit, tout seule puisqu'aucun homme ne veut de moi. ◊ AVATAR : Jaime GORGEOUS King ♥ ◊ CRÉDIT : avatar by shiya ; sign by wood spoon
Sujet: Re: Spider-Pig, Spider-Pig. Does whatever a Spider-Pig does. Can he swing from a web? No he can’t, cause he’s a pig. Look out! He is the Spider-Pig! Lun 27 Jan - 16:08
i'll be there for you
les Hodgins
« NON, NON, NON ET NON ! » Je secoue les bras dans tous les sens en sautant sur place, mes cheveux volent autour de mon visage. « MATHÉO C’EST PAS COMME ÇA !!! » Andie se met à rire. « Mathéo il sera jamais mannequin. » « Ça c’est sûr. Ni prince charmant ! Tu marches comme un crapaud qui aurait un requin sur les épaules. » Mathéo me regarde sans comprendre. « Si tu veux devenir un prince charmant, il faut marcher bien droit, la tête haut et en souriant. » Il me tire la langue sans crier gare et se lève. « Mais moi j’veux pas être prince d’toute façon ! Les princesses ça craint du boudin !!! » « HAAANNNN !!! » Andie pose ses mains sur sa bouche, et moi sur mes joues. Nous sommes choquées ! Comment peut-il refuser à devenir un prince charmant alors que je lui répète tous les jours que les filles aiment les beaux garçons ?! Et puis les princesses… ça ne craint pas du boudin d’abord !! « Et ben… et ben d’abord toi t’es… T’ES QU’UN SAUCISSON POURRIIIIII !!! » « Ouais d’abord ! » Je claque la main de Andie, ouais on est les meilleures. Mathéo hausse les épaules, fronce le nez et nous tire la langue. « Et ben les filles ça pue, c’est moche et ça pleure tout le temps ! » Et il s’est sauvé en courant. « HAAANN !!! MAAMAAAANNNNN !!! » J’ai couru derrière lui, tout droit dans le salon où sont nos parents à parler de choses de grands. « Mathéo il a dit que les filles sentent mauvais et que les princesses c’est du boudin !! » Ils rigolent. « Ouais les filles c’est nul ! Moi j’aime pas les filles ! J’aimerais jamais les filles ! Moi je préfère les robots ! » « T’es nul ! T’es pas un prince ! Tu seras… un troll ! » « Et toi une trollette !! » « NOOOON !!! » « Beh si, t’es ma cousine, on est pareils, voilà. » « Haann, non je suis une princesse. Et toi, tu seras mon serviteur. Va me chercher du jus de pomme garçon, j’ai soif ! » « Alice ! » Ma maman me regarde avec les gros yeux. Elle dit que je veux toujours tout contrôler et que je donne trop d’ordres. Alors elle me dispute et me demande d’être plus gentille. « Rooh… bon d’accord. Désolée cousin. Je vais le chercher toute seule. En veux-tu ? » Il me sourit et m’accompagne. « Oh oui cousine, mais je préfère le jus de raisin. » « Et moi ? Et moi ? » J’attrape Andie par la taille et l’entraine à ma suite. « Ma petite cousine adorée, la plus belle des princesse – Mathéo interdiction de dire le contraire ! – évidemment que tu viens avec nous. J’ai pas de frère ou sœur, mais je vous ai vu vous, ça c’est trooooop cool !! »
je l'aurais un jour, je l'aurais !
« Alice, mon petit, n’oublie pas ton lunch. » J’offre un grand sourire à ma grand-mère en faisant une petite révérence tout en tenant le coin de ma jupe. « Bien entendu mère-grand. » J’attrape le petit sac qu’elle me tend et le fourre dans mon cartable. Je vais à l’école ! Je vais à l’école ! J’adore aller à l’école parce que je suis assise à côté de Jean. C’est un français, il est beau, intelligent, gentil, il partage toujours son goûter avec moi, il est toujours très bien coiffé et j’adore son accent. L’autre jour il m’a dit « Aie likeuh you. » J’ai eu du mal à comprendre, et puis j’ai rougi. Je l’aime bien. Mais il devrait quand même apprendre l’anglais. Parfois la maitresse le gronde. C’est vrai que des fois on ne comprend rien de ce qu’il dit. Mais il nous apprend quelques mots en français. Bonjour, ça va, merci, s’il te plait, comme ci comme ça, ouhlala. Ouhlala, il le dit tellement souvent ! Maman m’a déposé à l’école en partant au travail. Et j’ai retrouvé Jean à sa place habituelle en classe, à côté de moi. Tiens, il s’est coupé les cheveux ce weekend. Ça lui va terriblement bien. Et puis il y a eu la récréation, à nouveau la classe et est venue le repas. Je suis allée à la cantine avec mon petit repas. Mais… aah, pas de sauce ! Je veux du ketchup moi ! Donc je me suis levée pour aller en prendre. Et puis j’étais devant la table, en train de mettre du ketchup dans une petite assiette en plastique quand une brute de fille m’a bousculé. « Hééé !!! Fais attention SAUVAGE ! » « J’suis pas une sauvaaaaaage !!! » « Alors arrête de hurler !! » « Je huuuurle si je veeeeuuuux !! » « C’est pas une attitude pour une demoiselle. Tu devrais…/ » Ah même pas le temps de terminer ma phrase, elle prend ma petite assiette de ketchup et me l’écrase sur la figure. « AAAAH !!! Aaaah !!! Je suis pleine de ketchup ! Aaaah ! » « AHAHAHAHAHAH !!! » Je serre les poings et les dents. « Tu vas me le payer sauvage ! » Je l’attrape par les cheveux et lui écrase la tête dans le fromage. Je la lâche et regarde ma jolie robe. « Heeeuuunn tu l’as toute tâchée ! » « Ça me pique les yeux ! » « Aspen, pourquoi tu ressembles à un cheeseburger ? » Une autre petite fille s’est ramené devant nous avec un air étonné. « Mais c’est eeeeeelleeeeeee !!! » « Non c’est faux, c’est toi !!! » « Nooooon !!! » « Siiiiii ! » « Okay… » Je pleurniche à moitié en regardant ma robe. Elle était si jolie, je ressemblais à une princesse. Et maintenant… je ressemble à une bouteille de ketchup ! Jean va me trouver horrible ! Et il va me dire un truc comme « You areuh deeeerty. » Ma vie est une grooooosse crooootte !!! « Mais ce n’est rien. Aller vous laver. Arrêtez de crier, la maitresse va vous disputer. » La voix de la sagesse. Mais qui sont ces filles que je ne connais pas ? Ma maman m’a toujours dit d’être gentille avec les autres, mais cette folle m’a attaqué ! Au secours, princesse en détresse ! « ELLE m’a attaqué ! » Je deviens toute rouge de colère. « C’est faaaaauuuuux ! Tu m’as poussé et tu m’as aspergé de ketchup !! MENTEUSE !! VILAINE !!! PAS BELLEEEEEEUUUUUH !!!! » « Atéa, t’as vu, elle est méchaaannnte !! » Elle nous tourne le dos en rigolant. « Je m’en fiche, moi je parle qu’aux gens propres, vous sentez mauvais. » « Je serais la première à la toilette. » « Non ça sera moi ! » « Tu peux rêver limace ! » « Écrase la fausse princesse ! » « Haannn !! » On se met à courir, en se poussant pour être la plus rapide, la première. Je l’attrape par la manche de son pull et je la tire comme je peux pour la faire tomber. Elle s’étale par terre et je la sens qui attrape ma cheville. « Aaaah ! » Et là, je vois une paire de jambes qui s’arrête juste devant nous. « Oh crotte… » Oh oui tu l’as dit la sauvage. Zut crotte mince. « Mesdemoiselles… Suivez-moi. » Aie aie aie, la maitresse ! Je suis sage et innocente, promis je n’ai rien fait m’dame !
En fait on a été grondées, punies même. On a dû nettoyer nos bêtises, en plus en rentrant le soir maman m’a disputé à cause de ma belle robe. Mais on a eu des lignes à copier (oui c’est ça notre punition : je ne dois pas jouer avec la nourriture ni me battre en présence de mes camarades dans la cafétéria, ni même dans un autre endroit, ou en présence d’autres personnes.) Elle est folle notre maitresse, j’ai eu mal au poignet ! Et puis la brunette, la folle qui m’a attaqué, s’est penchée vers moi en souriant. « Je m’appelle Aspen, et toi courgette ? » « J’suis pas une courgette. » « Oh on s’en fiche, dis moi ton prénom. » « Non je n’ai pas envie. » J’ai pris un air de princesse en regardant ma feuille. Pendant quelques instants. Et puis finalement je me suis retournée vers elle. « Alice. » « Oh cool ! Tu connais le chapelier fou ? » « Euh, non… » « Pas grave. On est copines ? » J’ai haussé les épaules. « Oui, d’accord. » Et voilàààààà. Elle est un peu folle, mais il suffit de l’apprivoiser. Moi qui ais toujours voulu avoir un petit chien, maintenant j’ai Aspen ! Ah et il y a Atéa aussi ! La fille qui nous a dit de nous laver. Elle est gentille. Avec sa sœur jumelle, Calypso. Je les aime bien. Même Aspen, même si on se bagarre souvent. Je l’aime bien quand même. Oh mince la maitresse ! Je dois terminer mes lignes !
spectacle de danse
Atéa coupe la musique et pousse un énorme soupir. « Non mais sérieusement Alice, t’as fumé ou quoi ? On peut pas danser comme ça ? Enfin si on peut… mais c’est horriiiiiiible !! » Je secoue vivement la tête en jetant un regard impérieux à Atéa. « Non mais tu ne comprends rien, c’est de la danse modêrne. » J’apporte un accent bizarre au mot moderne. « Et puis de toute manière, tu verras, Aspen ne voudra pas danser ça. » « D’toute manière elle est en retard, jamais à l’heure. Les retardataires n’ont pas leur mot à dire ! Tu crois que César a attendu ses ennemis pour livrer bataille ? C’est pas "Je suis venu, j’ai attendu, et j’ai eu mal au cul." C’est "Je suis venu, j’ai vu, j’ai vaincu !". Aspen ne vient pas, bah tant pis, elle ne vaincra rien ! » Atéa me dévisage d’un drôle d’air. « T’es bizarre comme fille parfois. » « Non je ne suis pas bizarre ! Mais on doit faire un super beau spectacle ! Je n’ai pas envie d’être la risée de tout le monde. » Je secoue dans les bras dans tous les sens et me retourne. Pile au moment où une fille que je ne connais pas traverse la salle. « Comme cette fille qui enfile une robe par-dessus son pantalon ! » Elle me regarde de travers, rougit, baisse la tête et s’enfuit en courant. « J’avoue que la robe et le pantalon… » Atéa hoche pensivement la tête. Ben ouais on est d’accord, c’est trop moche ! C’est à ce moment précis qu’Aspen se pointe, comme une fleur, en souriant. « Vous ne devinerez jamais ce qui m’est arrivé ! » « T’ES EN RETAAARD !!! » Elle se stoppe et me regarde avec des yeux comme des balles de golf. « Waow… non mais l’hystérique quoi ! Calme-toi, va prendre tes calmants ! T’as pas eu ta dose de sexe dernièrement ou quoi ? Faut te calmer là ! » Je soupire et porte ma main à mon front, je tapote même du pied. « T’es en retard de vingt minutes ! » « Il t’es arrivé quoi ? » « Atéa ! » « Quoi ? » « Alors je marchais tranquillement dans le couloir… » « On s’en fout y a répèt’ ! » « Et puis là y a Ethan, le trop sexy qui se pointe devant moi. » « La répèt’ peut bien attendre. » « Et il me dit que je suis belle et tout et tout. » « Non ça peut pas attendre ! » « Oh détends-toi Alice. » « Et puis je lui dis que lui est pas mal non plus dans son genre. » « Me détendre ? Mais on a un spectacle dans trois semaines ! » « Et là il me dit qu’il faudrait qu’on sorte ensemble un de ces quatre ! » « Trois semaines c’est dans longtemps. » « Ça passe vite ! » « C’est vrai Aspen ? » « Mais trooop ! » « D’toute façon il est moche ! » « Tu lui as répondu quoi ? » « Que s’il m’invitait dans les formes, je lui dirais peut être oui. » « Entre toi qui passe ton temps avec Mathéo et Aspen avec les mecs… on ne sera jamais prêtes. » « OOH ÇA VA !! » Je sursaute. Quoi, elles osent me crier dessus alors que je fais tout pour que notre spectacle soit parfait ? C’est injuste ! INJUUUUSTE !!! « Vous êtes nulles ! Et ben démerdez-vous avec la choré ! » J’attrape mon sac et je descends de la scène. « Où tu vas ? » « J’me barre ! » « Bah… Alice ? » J’hausse les épaules. J’ai décidé de partir, et je partirais. Elles savent très bien que quand j’ai une idée en tête, je ne la lâche pas. « Et tu vas faire quoi ? » « Me manger une glace. » J’en ai envie là tout d’un coup. « Oh moi aussi ! » « Ouais moi aussi ! » « J’ai chaud ! » « C’est clair, cette répèt’ m’a épuisé ! » Je me retourne, et Atéa et moi jetons un regard noir à Aspen. « Quuooooiiiiii ? » Elle se marre et nous attrape par le bras. « Je vous adore toutes les deux, allons manger cette glace ! On verra notre spectacle plus tard. » Atéa sourit. J’hausse les épaules, de toute manière pour aujourd’hui c’est loupé. Allons la manger cette glace !
t'as déjà embrassé un geek ?
« Hey Léo ! » Je fais de grands signes de la main dans le couloir du lycée et lui trottine après. Non mais vous le croyez vous ? Moi, Alice Hodgins, courir après un geek boutonneux et aux cheveux longs ? Eurk… Mais je suis obligée, c’est pour la bonne cause. Il a refusé de faire mon travail en sciences, l’enflure ! Comme si j’allais travailler sur de la science, ben voyons ! Mon truc à moi, c’est la cuisine. Pas la science ! Et il m’a tellement énervé, que hop, j’ai demandé de l’aide à la meilleure : Aspen. On a monté un plan trop tordu, digne de nous en fait ! Mais si ça compte si bien fonctionner, c’est parce que j’ai remarqué comment il regarde ma meilleure amie. On dirait… c’est comme s’il voyait… hm, imaginez un peu le plus beau gâteau que vous ayez vu. Il est gros, alléchant, plein de chocolat, il sent divinement bon, il vous donne terriblement envie… mais il est de l’autre côté d’une vitre fermée sous clé. Et bien voilà comment il regarde Aspen. Et bien entendu, Aspen je lui ai dit. Elle a explosé de rire ! Mais elle se tordait de rire tellement elle trouvait la situation ridicule. Léo Camden qui espère voir Aspen à son bras un jour. C’est pas le monde des bisounours ! Bref, j’ai donc profité de cette faiblesse pour l’inviter à la fête de samedi prochain. La fête de Mindy, la fille ultra riche, populaire mais un peu concon. Elle inviterait n’importe qui pourvu qu’on parle d’elle. Je lui ai dit qu’Aspen y serait pour sûr vu qu’on y va toutes les deux. Je lui ai aussi vendu le truc en disant qu’Aspen n’attendait que ça, qu’il l’invite, qu’elle lui en parlait depuis des semaines et des semaines. Bref, je lui ai bien fait croire qu’Aspen était complètement gaga de lui. En plus comme à ce moment là, elle se retournait pour voir le déroulement de la chose, il y a d’autant plus cru. Et il a accepté ! Je trépignais sur place, mais j’essayais surtout de rester naturelle. Surtout, le gibier ne doit pas sentir l’approche du chasseur. Oui j’ai regardé un documentaire hier soir avec maman. Et alors qu’il plongeait la tête dans son cahier, j’ai levé un pouce victorieux à Aspen. Le plan est en marche. Mais c’est seulement en sortant de classe qu’Aspen m’a demandé « Tu lui as bien dit devenir costumé ? » « Oh merde ! » « Pff, t’es bien blonde toi ! » Et voilà comment j’en suis arrivée à lui courir après. « Léo attends ! » En plus, courir en talons je vous le dit hein, c’est pas facile du tout. Je suis arrivée en trottinant à côté de lui, soufflant à moitié. J’ai traversé la moitié du couloir et je suis épuisée. Je me suis accrochée à son bras en reprenant mon souffle. « J’ai oublié de te dire. C’est une fête costumée. Et euh, Aspen s’habille en… ah mince j’ai oublié son nom. A chaque fois ça me fait ça. La fille euh non mince, la mère de la princesse Leïa. Quel est son nom déjà ? » Oui je connais un peu Star Wars… un peu ? Bon d’accord, j’adoooore carrément ! Et là je lui fais croire qu’Aspen se déguise en Padme. Et si je dis ça à Aspen, elle va me sortir « en qui ? C’est quoi encore cette merde ? » Bref, évitons ça. « Padme ? » « Voilàààà ! » J’affiche un grand sourire en lui tapant l’épaule. « T’as la réponse à tout toi hein, pas vrai ! Enfin voilà, elle aimerait que vous soyez assortit. Tu sais en quoi te déguiser hein ? » Il sourit et alors que je m’apprête à repartir. « Tu te déguises en quoi toi ? » Je m’arrête net. Oh merde en quoi je me déguise ? Réfléchis vite Alice ! « En reine rouge. » EN REINE ROUGE ? Oh mon dieu, je fréquente trop Aspen et sa lubie pour Alice in wonderland. Heureusement que je n’ai pas dit le Cheshire. J’aurais été mal à me trouver un déguisement de chat violet rayé… et dont le corps disparait. Harry Potter, help me please! Bref, j’affiche un grand sourire à Léo et lui dit à samedi. Puis je me baaaaaaaaaarre !!! Ma chère Aspen, très chère, le plan est en marche.
« Ça a fonctionnnééééééééééééé !!! » Je coure vers Aspen et lui attrape le bras. Je la secoue même un peu dans tous les sens. Mais que risque-t-elle ? De perdre son bustier ? Bah au pire on verra ses seins, c’est pas comme si ça allait la déranger. Tout le monde les a vu ses seins déjà. Je suis morte de rire en regardant Léo qui est visiblement déguisé en… Jedi ? Il faut croire qu’il a bien suivi mon conseil. Ah oui c’est ça, un Jedi ! Il a le sabre laser, la capuche ample, la petite natte sur le côté de la tête… Enfin je ne vais pas dire à Aspen que son costume est parfait, elle me regarderait avec des yeux ronds l’air de dire « mais qui êtes-vous, qu’avez-vous fait d’Alice ? ». Je me tourne vers Aspen et lui lance un clin d’œil complice. « Prête pour la suite ? » Son regard suffit amplement à ma réponse. Encore quelques mots échangés, elle se rhabille avec l’élégance dont elle fait toujours preuve (soit aucune) et la voilà partie à la chasse au Jedi ! On va se marrer ! « Aspen attends ! » Je la rattrape par le bras. « On a failli oublier le plus important ! » Je sors le petit micro de mon sac et la regarde en souriant. Sourire qu’elle me rend. On se comprend. On s’éloigne un peu de la foule et Atéa nous accompagne. Elle a l’air… comment dire ? Sidérée par ce qu’on prépare. « Tadaa ! » « T’es sûre que ça va tenir ? » « Écoute t’as pas de gros seins mais, si tu ne bouges pas ça devrait le faire. » Je tâte ses seins une dernière fois, histoire de m’assurer que ça tient. « Tu sais, il y a des pilules qui font grossir les seins… Enfin je dis ça, je dis rien. » Atéa soupire et lève les yeux au ciel. « Vous craignez pas de dépasser les limites ? Il vous a fait quoi ce pauvre mec ? » « Il a pas voulu faire mon/son devoir. » On se regarde et on rigole. C’est souvent comme ça entre nous, et chaque fois on rigole comme deux idiotes. Aller c’est partit ! « Bon tu n’oublies pas ! Totally Spies, et je saurais que je dois aller me planquer. » « Vous êtes graves… » « Até, tu feras coucou à mon cousin pour moi ? » Je lui lance un clin d’œil et je me sauve à la suite d’Aspen. Elle vers notre proie, moi vers… Damien ? Oui je crois que c’est ça. Damien. Un français. Mon dieu ce que j’aime leur accent si sexy et ses fesses… ohlala. Hm, je m’éloigne ! Alice reprends-toi, tu dois surveiller Aspen ! Bref, j’observe le petit manège d’Aspen tout en sirotant les verres que m’offre Damien. Et puis quelque chose me dérange… elle n’arrête pas de regarder Ethan. ASPEN STOP ! Bordel, elle va tout faire foirer. « Je reviens, tu m’attends ? » Damien me sourit. Il est adorable. Je m’approche en souriant d’Ethan et de cette fille qu’il commence à draguer lourdement. Le pire c’est qu’elle se laisse faire. N’importe quoi. De même que je ne comprends pas ce qu’Aspen lui trouve. Ce mec n’a rien dans la cervelle. Il est inintéressant. Moi j’aime les hommes cultivés, avec qui on peut discuter. « Salut Ethan ! Oh Ashley, je ne t’avais pas vu. Tu es très jolie ce soir ! Et comment va ton herpès ? » Je fais un mouvement vers l’entre-jambe. L’air discrètement alors que pas du tout, je fais tout pour qu’Ethan le voit et m’entende. « Ça doit gratter non ? En plus c’est contagieux, bof. Tu ne l’as pas trop mal vécu ? » Je secoue la main. « Peu importe, je vais vous laisser. Amusez-vous bien ! » Et je leur lance un gros clin d’œil avant de m’éclipser. Avec ça, je sais qu’Ethan n’ira pas plus loin. Nous sommes débarrassées. Je replace discrètement mon oreillette pour entendre Aspen. « Totally Spies. » Presqu’un murmure. Mais je l’entends ! C’est bon, je suis prête ! Je coure jusqu’à la chambre que nous avions repéré. Quelqu’un veut y entrer en même temps que moi. « Non pas possible, je prends ! » « Mais t’es seule ! » « RIEN A FOUTRE, DEGAGE J’AI DIT !!! » Devant mon élan d’hystérie, ils n’ajoutent rien de plus et s’en vont. Non mais oh ! Je lève bien haut mes pouces et affiche un grand sourire à Aspen qui me regarde. Et je vais me cacher dans le placard de la chambre. Bon sang… quand je pense que je vais assister à ça… berk… heureusement qu’elle ne couchera pas pour de vrai avec lui !
J’entends la porte s’ouvrir et se refermer. « Passons aux choses sérieuse. » Ça c’est la voix d’Aspen. Heureusement que ce placard est fait comme les stores, je peux voir au travers. Heureusement pour surveiller le déroulement du plan, malheureusement parce que j’assiste à cette scène immonde digne d’une pornographie. Berk, berk, berk ! Et dire que Damien m’attend… mais c’est une nécessité ! Aspen commence à le déshabiller, à l’allumer comme elle le fait toujours. Change de méthode un peu ma fille ! Han il est presque à poil ! « Enlève ton caleçon et ensuite je te ferais un striptease… » Ça l’excite l’idée de voir Aspen nue. Il s’exécute et balance ses vêtements devant le placard. Oh mon dieu, on y est presque ! AAAH il est nu !!! Horreur, infamie ! Mes yeux me brûûûûûûûleeeennnnt !!! Aspen recule lentement en faisant semblant de danser, qu’est-ce qu’elle peut aguicher cette fille ! Je me mords la langue pour ne pas rire. Surtout ne pas glousser. Quand je ris et que je ne dois pas faire de bruit, ça m’arrive de glousser. La honte… ça ferait tout foirer notre plan ! Elle donne un léger coup dans la porte du placard. C’est le signal ! J’allume mon appareil photo et j’ouvre la porte en poussant un cri de victoire ! « YAAAAAH !!! » Et clic clic, une photo. Oh aller, ne lésinons pas ! Plusieurs photos ça le fera ! Aspen ramasse les fringues tandis que j’ouvre d’un coup sec les stores. Et bien entendu je toque fort à la fenêtre. Ben oui ce n’est pas drôle sinon ! Sa fenêtre donne directement sur la terrasse/piscine, et il y a un monde fooouuuu. Je les vois exploser de rire devant Léo qui essaye de se cacher en attrapant la couette. Je prends encore deux – trois photos, et on s’enfuie en courant avec Aspen. Elle me refile ses vêtements sous le regard apeuré et dégoûté de Léo. Moi je suis morte de rire. Je coure aussi vite que possible avec ses fringues. Pas sûr qu’il veuille me suivre en tenue d’Adam… mais sait-on jamais ! Aah je glisse avec mes talons. Que vais-je faire de ses vêtements ? Oh je sais ! Je vais dans la cuisine sous les regards intrigués des gens. Je mets ses vêtements dans la poubelle. Et non, je ne m’arrête pas là ! Je les ressors, je prends un paquet de farine et je les recouvre ! Puis des œufs… du sucre… du sel… hm qu’avons-nous encore ? Oh de la sauce béchamel, parfait ! Tiens du vinaigre, oh de l’huile et de la mayonnaise. Du ketchup ! Le ketchup me rappelle Aspen… où est-elle d’ailleurs ? Je mélange bien ses vêtements, j’en fais une boule et je retourne au salon. Que vais-je en faire ? Oh tiens, ce ventilateur au plafond est parfait. J’attrape le bras d’un mec à côté de moi et lui fais un grand sourire. « Tu voudrais bien coincé ce tas de vêtement sur le ventilateur là-haut s’il te plait ? Merciiii, t’es trop mignon ! » Il me sourit et s’exécute. Voilà, Léo n’est pas prêt de récupérer ses fringues. A moins de se mettre à nu devant tout le monde. Oh mais… c’est déjà le cas ! Je vais me laver les mains et retrouve Damien en sautillant. « Tu m’as manqué, on danse ? » J’adore quand un plan se déroule sans accroc !
CODES BY CATSOON
Dernière édition par Alice Hodgins le Lun 27 Jan - 21:48, édité 3 fois
Alice Hodgins
◊ STATUT : À quoi bon, je suis bientôt ménopausée, j'ai 30 ans, je ne suis qu'une vieille peau. ◊ TU DORS OÙ CE SOIR ? : Dans mon lit, tout seule puisqu'aucun homme ne veut de moi. ◊ AVATAR : Jaime GORGEOUS King ♥ ◊ CRÉDIT : avatar by shiya ; sign by wood spoon
Sujet: Re: Spider-Pig, Spider-Pig. Does whatever a Spider-Pig does. Can he swing from a web? No he can’t, cause he’s a pig. Look out! He is the Spider-Pig! Lun 27 Jan - 16:09
i'll be there for you
hello boston, les filles je pars avec mon homme.
J’arrive en courant devant mes amis qui sont installés sur l’herbe fraîche, en cette jolie journée de printemps. Rien qu’à mon attitude à sautiller sur place et à l’immeeeeennnnse sourire qui fend mon visage, ils peuvent deviner que quelque chose se trame. « AAAAH LES FIIIIIILLES !!!! » Atéa, Aspen et Andie relèvent la tête vers moi. Elles commencent même à rigoler en me voyant gigoter dans tous les sens. « Les filles, hm hm, bien sûr. » « Et Mathéo, qui est là aussi. Mais si j’t’appelle la fille tu m’en voudras pas ? Tant mieux. » Je ne lui laisse pas le temps de rétorquer quoi que ce soit. Je suis trooooop heureuse là ! « Qu’est-ce qu’il t’arrive Alice ? » Me demande Atéa en rigolant. Je tape dans mes mains en sautant sur place. « HIIIIII !!! » Aspen pouffe de rire. « Elle a craqué, ça y est. » « C’est pas une nouveauté ça. » « C’est vrai qu’Alice a toujours eu un grain. » « Elle veut tout commander. » « Et puis faut pas la contredire, attention ! » « Oh non, sinon elle pète un câble et serait capable de nous couper la tête. » « Finalement elle porte bien son nom… » « Hé oh ! Ça va ? Je vous dérange pas ? » « Oh non pas du tout, tu peux continuer. Donc on disait quoi ? » Andie me regarde en rigolant et m’envoie un faux bisou. « Je rigooooole Alice, prends pas la mouche ! » Je croise les bras. « Qu’est-ce que je disais hein. » « Mathéo chut, Alice raconte-nous ! » « Oh oui ! » Je m’assois devant eux et j’affiche un énorme sourire de ravissement. « Bobby m’a demandé d’aller vivre avec lui à Boston !!!! HIIIIII !!!!! » Je tape le sol de la paume de mes mains et en balançant la tête dans tous les sens tellement je suis heureuse ! « Mais quand, il t’a demandé quand ? » « Et vous partez quand ? » « Est-ce qu’il t’a demandé en mariage ? » « Oh mon dieu ma chérie tu vas te marier ? » « Ah les filles… » « Waow… non on ne va pas se marier. Oh mon dieu si ça se trouve il attend le moment parfait pour me le demander ? Oh mon dieu, oh mon dieu, oh mon dieu !!! » Je suis à genoux et je tape mes mains entre elles. Les filles sont aussi excitées que moi ! « AAAH, si tu te maries je veux être demoiselle d’honneur !! » « Vous le serez toutes ! Même Mathéo ! » « Y a pas moyen que j’sois demoiselle d’honneur ! » « Et il t’a demandé quand ? » « Il vient de le faire... » J’ai des étoiles plein les yeux. « Attends… tu veux dire qu’il t’a proposé de l’accompagner à Boston… et que tu l’as planté pour venir nous l’annoncer ? Alice, t’es sérieuse ? » Je regarde mon cousin quelques instants le temps que les informations arrivent jusqu’à mon cerveau. Et puis soudain je me lève en battant des bras. « Oh mon dieu ! OH MON DIEU !! OH MON DIEU !!! J’ai totalement oublié de lui dire oui ! OH MON DIEU !!! » Et je pars en courant, les bras dans tous les sens, vers Bobby, alors que je les entends tous rigoler derrière moi. Bobby j’arriiiiiiiiiiiiiiiiiive !!!
abandonnée, publiquement humiliée ! (pourtant je ne suis pas Gaston)
En entrant dans l’ascenseur, j’ai les yeux qui s’illuminent. Je viens d’avoir Aspen au téléphone et je lui ai fait part de mes soupçons vis-à-vis de Bobby. Je suis presque certaine qu’il va me demander en mariage ! Il me cache quelque chose depuis quelques jours, il semble nerveux. Oui je suis certaine que c’est ça ! Oh mon dieu ! Tout se met en place ! J’ai trouvé mon homme parfait, il va me demander en mariage, nous aurons un mariage parfait ! Aspen, Atéa, Andie et Mathéo seront mes demoiselles d’honneur (même si mon cousin se met à râler). Ensuite nous aurons une lune de miel de rêve ! Et puis viendra notre premier enfant, magnifique, superbe, parfait… oh oui j’en rêve déjà ! Les portes s’ouvrent et je traverse le couloir pour entrer dans notre appartement. « Chéri ? » Je referme la porte derrière moi. « Je suis rentrée, où es-tu ? » Est-ce qu’on joue à cache-cache ? Oh un petit mot, qu’il est adorable. Il me demande de le rejoindre au restaurant ce soir. Oh ! Je sens le moment arriver ! Oui, il va enfin se décider à me l’annoncer ! Bon aller, il faut que je sois présentable, la plus belle pour ce soir ! Il n’aura d’yeux que pour moi ! Je prends d’abord un bain pour me détendre, et puis je m’habille, me maquille, me coiffe. Bref, tout ça tout ça. Finalement, je le rejoins à l’heure dite au restaurant. Dans ma belle robe de soirée que je me suis achetée l’autre jour. Les cheveux relevés, et quand je le vois, il se lève et me sourit. « Tu es magnifique. » « Merci. » Je me penche pour l’embrasser, mais il se retourne et fais signe au serveur. Hm… bon, d’accord. Je pince les lèvres et m’assois. Il n’a pas fait attention c’est tout. Ça arrive à tout le monde des fautes d’inattention. Contente-toi de sourire Alice. « Alors, tu as passé une bonne journée ? » « Hm, oui ça été. » Et ? Ah c’est tout ? D’accord… Il commence à jouer avec ses couverts et repose sa fourchette à l’envers. Non ce n’est pas dans le bon sens. Remets-la correctement. Aller ! Bon je compte intérieurement jusqu’à trois, il l’aura remis correctement. 1…, aller Bobby ! 2… aller. 3… 4… ? 5… oh et puis zut ! Je me penche en avant et attrape sa fourchette. C’est là qu’il m’attrape le poignet. « Arrête ça. » Je le regarde sans comprendre. « Arrêter quoi ? » « Ça, tout. » « Tout ? Attends t’es en train de me montrer au complet là. » « Justement, voilà ! » J’ai toujours sa fourchette dans ma main, et lui n’a pas lâché mon poignet. Qu’est-ce qu’il veut me dire exactement ? « Tu pourrais me lâcher s’il te plait ? » Il regarde sa main autour de mon poignet et il s’exécute. Je me rassois et replace ma robe. Puis je jette un regard agacé sur Bobby. Cette conversation commence très mal. « Écoute Alice… » Alice ? Où sont passés les ma chérie, bébé ? « Tu comptes énormément pour moi, tu le sais ? Tu es belle, intelligente, ravissante, formidable, et puis au lit… n’en parlons pas, tu es fantastique ! » « Bobby ! » Je fronce les sourcils et jette des coups d’œil embarrassé autour de nous. « Nous sommes dans un lieu public, ne dis pas n’importe quoi ! » Je baisse la tête et me concentre sur mes mains. Il va me mettre mal à l’aise s’il commence à parler de nos ébats. C’est personnel ! Personne n’a besoin de le savoir ! Qu’est-ce qui lui prend ce soir ? « Tu vois c’est ça… t’es géniale et t’es super belle, mais Alice, t’es beaucoup trop coincée ! » Je relève la tête vers lui, mes yeux ronds comme des balles de golf. « Pardon ? » « Tout doit toujours être impeccable, tu ne te lâches jamais, tu ne veux jamais qu’on parle de certains sujets en public, à l’appartement tout est tellement bien rangé que parfois je ne retrouve pas ce que je cherche. Tu veux toujours TOUT contrôler. Je n’ai le droit à aucun écart. Tout ce que je fais, tu veux le savoir, tu prévois tout à l’avance. Comme ton plan là… avoir un gosse avant trente ans ? Sérieusement ? Les seuls moments où tu n’es pas tendue, c’est quand on fait l’amour ! » Je… je n’arrive pas à y croire. Je n’y crois tellement pas que je reste en silence, devant lui, à le regarder, la bouche ouverte. « Si je pouvais continuer, crois-moi que je l’aurais fait. Surtout que tu es très inventive au lit. Mais je n’arrive plus à te supporter quotidiennement. Tu m’étouffes. » Je… tu… il… qu…thyththtyhy… « C’est terminé Alice. Je te quitte. On se sépare. Notre histoire s’arrête là. » Il me regarde mais je n’arrive pas à réagir. « Le nous se transforme en je et tu. Désormais tu es célibataire. Crois-moi, sincèrement, je vais te regretter. Je te regrette déjà. J’ai eu une journée stressante. J’aurais aimé que tu me déstresse ce soir comme tu sais si bien le faire. Mais nous deux, ça s’arrête là. » J’ai le regard dans le vide. « Alice ? » Et là, c’est trop. J’éclate en sanglots. De gros sanglots qui s’entendent à l’autre bout de la pièce. Tout le monde se retourne vers nous, nous dévisagent. On entend des murmures, mais qu’a bien pu faire ce jeune homme pour qu’elle pleure ainsi ? Je suis certaine que mon maquillage coule sur mes joues. Je vais ressembler à un panda très bientôt. Mais je n’arrive pas à m’arrêter de pleurer. On était censé se marier ! Il était censé m’aimer ! Il devait me faire un enfant ! « UUUUUIIIIINNNNNN !!! UUIIINN UUUIINN AAAAH AAAH !!! » « Bébé ne pleure pas… » « TA GUEULE !!! » « Bébé… » « NOOON !!! TU ME LARGUES COMME UNE MERDE ET TU OSES M’APPELER BÉBÉ ??? » « Alice écoute… » « NOOOOON !!! LAISSE-MOI CREVER EN PAIX !!! » Je me lève pile au moment où le serveur arrive à notre table. Il fait un pas en arrière en me voyant et hésite même à se sauver ou à se réfugier derrière son menu. « Euh… vous euh… voulez commander euh… quelque chose ? » « VOUS AVEZ UNE PAIRE D’ARRACHE-COUILLES ? » « Euh… non… non… » « ALORS TANT PIS !!! » Je m’éloigne en pleurant à chaudes larmes. Les larmes dévalent mes joues, glissent dans mon cou. Je dois être affreuse à regarder. Ce qui explique que les gens se poussent sur mon chemin. « Alice ! Attends ! Tu n’as pas faim ? » « BOOOOOUUUUUH OOOOUUUUH OOOOUUUUHHHH !!!!! » Et je suis partie, toujours en pleurant. J’ai pris un taxi et je suis arrivée chez moi, sans avoir jamais cessé de pleurer. Ma vie est terminée…
la pire connerie d'ma vie !
« Euh, excusez-moi madame… » « MADEMOISELLE !!! ÇA NE SE VOIT PAS QUE JE SUIS UNE MADEMOISELLE ET PAS UNE MADAME ?? J’AI UNE TÊTE DE VIEILLE C’EST ÇA ??? » « … » Le monsieur en face de moi recula lentement, comme si j’allais le manger. Et lorsqu’il heurta la table derrière lui, il prit la fuite à toutes jambes. J’ai une tête de minotaure en plus de paraitre vieille ? J’ai lâché le sandwich que je tenais au bout de ma pince et je l’ai laissé s’écraser au milieu des autres. « Alice ? Venez là un instant s’il vous plait. » Mince le patron… qu’est-ce qu’il me veut ? Me féliciter pour mon dur travail ? Je pose mon tablier sur un tabouret et je vais le rejoindre dans son bureau. « Oui, qu’y a-t-il ? » Il me montre le siège face à lui et m’intime de m’assoir. Ça sonne presque comme un ordre. « Vous sentez quelque peu… bouleversée ces derniers temps. Depuis trois jours pour être exact. Est-ce que tout va bien ? » Non je meurs de l’intérieur, mon copain vient de me larguer sans aucune raison, je dors dans la chambre d’amis et il continue de me sourire comme si ce qu’il m’avait fait n’était rien, j’ai envie de mourir écrasée par un deltaplane en flammes et portant un tyrannosaure ! « Oui tout va bien. » Il se frotte pensivement le menton. « Écoutez, je crois que pour votre bien, et pour le bien de la boutique, vous devriez prendre un congé. » « Un congé ? Oh non, je vous assure que ce n’est pas nécessaire ! » « Alice, vous avez hurlé sur plusieurs clients depuis trois jours. Hier, Sarah vous a surprise, effondrée en larmes. » Je baisse la tête, comme une enfant prise en faute. « Un congé est le bienvenue pour… » « Mais je vous assure que je n’en ai pas besoin ! » « Alice, ce n’est pas une punition… c’est pour votre bien. » « MAIS JE VAIS TRÈS BIEN NOM DE DIEU !!! VOUS N’ÊTES PAS FICHU DE COMPRENDRE ÇA OU QUOI ? » Han ! Je porte mes mains à ma bouche et mes yeux sont grands ouverts. Merde merde merde ! Il me regarde avec des yeux de poissons (il ressemble vraiment à un poisson !) et il reste quelques instants sans bouger. « Oh non, je suis désolée ! Je suis vraiment désolée ! Je ne voulais pas, je… je suis vraiment désolée ! Pardonnez-moi ! S’il vous plait ! Pardonnez-moi ! » Il se lève avec le regard froid et s’amène devant moi. « Vous êtes congédié Miss McCorner. Je vous prie de partir et de ne plus revenir. Merci. » Nooooon !!! Je m’écroule par terre et m’accroche à sa jambe. « PITIIIIIÉÉÉÉÉÉÉÉ !!!!! » Il secoue sa jambe, essaye de se dégager de moi. « PIIITIIIÉÉÉÉÉ, JE VAIS ME RATTRAPER !! NE ME VIREZ PAS !! JE VAIS ÊTRE EXEMPLAAAIIIRE !! JE VOUS EN SUPPLIIIIIE !!!! » « Cessez ce numéro de Roger Rabbit Miss McCorner et prenez la porte !! Aidez-moi ! » Deux gros balèzes se sont ramenés, m’ont attrapé et m’ont jetés dehors ! Quelques instants après, j’ai reçu mon manteau et mon sac. Et j’ai fondu en larmes, assise sur le trottoir avec mon manteau sur la tête et mon sac dans les bras.
Quand je suis arrivée à l’appartement, j’ai réalisé que ma vie était fichue. Plus de copain, plus de logement (parce que Bobby m’a demandé de partir au plus vite), plus de travail, plus d’amis… ils sont tous au Texas. Et moi je suis là… à Boston… toute seule. Je me suis avancée au milieu de l’appartement, si propre, si bien rangé… avec nos photos… et l’odeur de Bobby qui traine partout entre ces murs. […] Et puis j’ai craqué. J’en ai eu marre de le sentir partout, de le voir partout, d’être si triste par sa faute ! J’ai bondi dans ma chambre et j’ai fait mes valises, j’ai pris TOUTES mes affaires ! J’ai pris tous les sacs que j’ai trouvés et j’ai tout fourré dedans ! Mes vêtements, les savons, shampoings, parfums. J’ai vidé celui de Bobby dans l’évier, et je l’ai rempli avec l’eau des toilettes. « Le parfum à 200$ ? DANS LES CHIOTTES PAUV’ CON !! » Heureusement que Bobby ne rentre pas avant dix neuf heures… et il n’est que midi. J’ai tout mon temps ! « On appelle ça de l’eau de toilette ? Bah j’sais pourquoi moi !!! » Me suis-je exclamée en plongeant son flacon dans les wc. « Ah tu vas sentir bon maintenant ! » J’ai éclaté son rasoir contre le lavabo. J’ai pris sa mousse à raser pour la vider dans tous les préservatifs que j’ai pu trouver. Hop, on ne les gonfle pas à l’air mais à la mousse à raser ! Et dans la cuisine ? Mais il est à moi ce vase ! J’le garde, j’l’embarque ! Dans ma valise, aller hop ! AAAAH, je n’ai jamais aimé ces assiettes ! « Je t’ai dit que ta mère avait des goûts de merde, tu m’as pas écouté enfoiré ! » Je les ai attrapées et je les ai balancées par la fenêtre. « ATTENTION EN BAS ! Oh, et puis peu importe. » Et ces verres là… ils seront mieux dans le broyeur. Le broyeur sera cassé ? Je m’en fous ! Oh des poires ! Et dieu sait que tu galères à trouver des poires que tu aimes Bobby ! Toi difficile ? Avec ton régime spécial, tu m’eeeemmeeeeeerdes !! Tu sais ce que tu peux en faire de tes poires ? Attends j’vais trouver !! Tu les aimes tellement ! Oh je saaaiiiis !!! J’attrape le saladier contenant les poires et je descends les escaliers quatre à quatre, direction dans la petite cour où il y a un semblant de jardin. La vieille du second emmène toujours son chien tout moche faire caca ici. Je n’emmène pas Patapouf faire ses besoins là où les enfants jouent. Ou au moins je ramasse pour mettre à la poubelle ! Ah là, deux belles crottes ! De la poire au caca, oh oui tu vas aimer pour ton régime spécial connard ! V’là, j’te les roule bien dedans ! T’y verras que du feu tellement t’es con pauv’ mec ! Bon c’est pas le tout, j’dois terminer ma valise. Je veux partir au plus vite ! « Mon Patapouf on va partir loin d’ici, dans un endroit merveilleux tu vas voir. Tu vas adorer, loin de ce connard de Bobby ! » Je m’arrête net au milieu du salon. Ce tableau est une horreur… je ne l’ai jamais aimé ! Il me fait faire des cauchemars ! Mais Bobby a tellement insisté que j’ai accepté qu’il l’achète. C’est terminé maintenant ! Je pose la corbeille de poires au caca sur une table, et j’attrape le tableau. Je le jette par terre, je saute dessus, j’appelle mon chien qui le piétine et fait même des petits trous dedans avec ses petites griffes. Il est détruit le tableau ! Je m’essuie les pieds dessus. Et… oh mon dieu Patapouf je t’aime ! Il vient de pisser dessus ! « T’es beau mon chien, oh oui t’es beau ! C’est bien, continue ! » Et ce canapé est une horreur ! Je prends un grand couteau bien aiguisé et je l’enfonce de toutes mes forces dans le canapé. Je dessine un smiley. Je les massacre. Coup ici, coup là-bas ! Et les coussins. Quels coussins ? Il n’en reste que des plumes ! « Patapouf, on doit faire un truc… énorme ! Contraire au zizi de Bobby ! » Mon petit chiot me regarde en remuant la queue, il est heureux, pour lui tout ceci est un jeu. Il a raison, c’est un jeu. Tout ce que j’aime, je le mets dans ma valise, dans mes sacs, j’essaye d’en prendre le plus possible. Je ne peux pas rester une seconde de plus dans le même appartement que Bobby. Il a ruiné ma vie. Par sa faute, je suis seule et sans emploi. OUI C’EST DE SA FAUTE !!! Ah c’est quoi ça ? De la peinture ? Ah oui… pour quand sa nièce vient… Pff. Ça me donne une idée. Ton joli costard qui coûte démesurément cher est-il toujours là chéri ? Oh oui, formidable. Tiens, PRENDS ÇA !!!! Avec toute cette peinture, tu vas devoir le jeter ! Tout comme tu as jeté ton amour pour moi ! ESPÈCE DE CONNARD !!! Mon dieu c’est le jour des poubelles demain ! J’vais aider les éboueurs, ils auront moins de boulot, oh oui oh oui oh oui. Je descends à nouveau les escaliers aussi vite que possible, et arrivée dans le local à poubelles, je prends tout ce que je peux. Telle que je suis partie, je vais bien faire quelques allers-retours. […] Finalement je me retrouve dans l’appartement avec une bonne dizaine de sacs poubelles autour de moi. Arf ça pue… « C’est partit Patapouf ! » Je remonte mes manches et… je déverse le premier sac dans la chambre de Bobby ! Sur son lit, dans sa penderie, j’en étale sur les murs, je les écrase sur le tapis, sur la moquette, j’en mets dans les draps. Et je change de pièce. La cuisine connait le même sort. « Tu as faim mon toutou ? Tiens, mange tout le fromage, tu aimes ça ! » Je lui donne tous les fromages qui trainent dans le frigo, dans une assiette et je donne ça à Patapouf. Et le reste dans le frigo ? J’écrase les tomates contre les murs, je jette un peu tout au travers de l’appartement. Je suis folle de rage !!! Et je continue comme ça jusqu’à avoir vidé tous les sacs dans tout l’appartement. Ça sent mauvais de partout, c’est sale, il va devoir jeter plein de choses… Je m’arrête devant la télé et l’observe pendant quelques instants. Non je ne peux pas… non… je me retourne. Et une statuette me fait signe. Je serre les poings. « AAAAAAAHHHHH !!!! » Je l’attrape et la balance directement sur l’écran de télévision qui tombe en arrière, explose et se retrouve avec un énorme trou au milieu, entièrement fissuré. Et puis je me laisse tomber à genoux par terre en pleurant. Je me sens misérable… Patapouf arrive alors et me fais un gros câlin. « Mon toutou… » Je le prends dans mes bras et me relève. « Oh mon dieu… qu’ai-je fait ? » Les dégâts sont considérables. Cet appartement ne ressemble plus à rien… « On doit partir Patapouf ! » Je ferme rapidement mes valises, je mets la laisse à Patapouf, je vais prendre l’argent qui reste dans le bocal "dream bag". Chaque jour on y mettait de l’argent pour un futur voyage en Australie… Il doit bien y avoir dans les huit cent ou neuf cent dollars. « Prêt ? » Mon chien jappe et remue la queue. Et c’est partit ! Avec mes valises, mon chien, mon sac à main, mon manteau, je sors de l’appartement et j’appelle un taxi. « A l’aéroport s’il vous plait ! »
Pasadena, here I go!
« A l’aéroport s’il vous plait ! » Arrivée à l’aéroport, je me suis retrouvée à me demander où je pouvais bien aller… Et puis j’ai pensé à Mathéo, Andie, Aspen… qui sont tous à Pasadena, au Texas. Je m’agenouille devant mon chien. « Mon bébé, on va aller au Texas d’accord ? Tu vas rester tout seul le temps du voyage, mais après on va se retrouver et je ne te quitterais plus jamais. D’accord ? Je te le promets. On aura une belle vie mon chien. » Je me dirige en trottinant au guichet avec mes valises qui pèsent lourd. « Bonjour, j’aimerais le prochain vol pour Pasadena, au Texas. Et j’ai un chien. » « Toutes ces valises sont à vous ? » « Oui, peu importe le prix qu’il faut payer, faites donc. Ça n’a pas d’importance. » Je dois partir très rapidement. Quand Bobby va rentrer à dix neuf heures, il va devenir fou. Je DOIS avoir quitté la ville à ce moment-là ! « Le prochain avion part dans deux heures. » « Génial, je le prends ! » Je vous éparge la note… j’ai bien fait de lui piquer cet argent. Enfin de lui piquer… il y a de l’argent à moi là-dedans ! Adieu Boston, Bobby crève ! Pasadena, me voilà !
CODES BY CATSOON
Dernière édition par Alice Hodgins le Lun 27 Jan - 21:54, édité 1 fois
Je ne suis pas fou ! Ma mère m'a fait passer des examens.
Dr Sheldon Cooper
◊ STATUT : en couple avec Alvin ! ◊ TU DORS OÙ CE SOIR ? : je suis le grand manitou, je ne délivre pas mes recettes. ◊ AVATAR : Jim Parsons ◊ CRÉDIT : (c) catsoon & Tumblr
Sujet: Re: Spider-Pig, Spider-Pig. Does whatever a Spider-Pig does. Can he swing from a web? No he can’t, cause he’s a pig. Look out! He is the Spider-Pig! Ven 14 Mar - 11:17
tu es validée
Le verdict est tombé, j'ai bien réfléchi mais c'est ainsi... celle qui a été désignée comme étant ton mentor est... MONICA GELLER & SON BALAI ! Je sais ça t'enchante ! Moi je m'en fiche. Et voilà qu'Alvin est jaloux, je serais toi, je me méfierais des projections de noisettes... ! Maintenant que tu fais partit des nôtres, enfin surtout des leurs, je t'invite à faire tes demandes de rang, de logement, de ce que tu veux. Et tu vas aussi pouvoir te faire des amis. Moi je n'en ai pas besoin, je me suffis à moi-même. Et puis y a toujours Alvin. Et puis si il te manque quelqu'un, tu peux toujours aller lancer une annonce. Enfin eux, ils appellent ça scénarios.
Je crois que tout est dit, il est temps pour toi de voler de tes propres ailes (j'ai jamais compris pourquoi on dit ça) et de t'amuser comme le font tous les autres ! Bon jeu, et ne deviens pas trop fou ! Je suis la seule personne lucide ici... !
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: Spider-Pig, Spider-Pig. Does whatever a Spider-Pig does. Can he swing from a web? No he can’t, cause he’s a pig. Look out! He is the Spider-Pig!
Spider-Pig, Spider-Pig. Does whatever a Spider-Pig does. Can he swing from a web? No he can’t, cause he’s a pig. Look out! He is the Spider-Pig!
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum