◊ STATUT : En Freelance. ◊ TU DORS OÙ CE SOIR ? : Bah dans mon lit avec mon patachon, un problème ? ◊ AVATAR : Troian Bellisario ♥ ◊ CRÉDIT : (c) Pretty Young Thing
Sujet: That's just a crazy girl in that world Dim 23 Fév - 17:35
Charlie Burton
« feat. Troian Bellisario »
Hey l'asticot ! Tu veux un bonbon à la menthe ? Bah réponds d'abord à mes questions, c'est pour savoir si t'es fiable. Commence par me dire ton nom l'zigoto ! « Je suis quelqu'un de fiable rassure toi, tes secrets je peux les emporter dans ma tombe. Enfin je les dirai à Rory avant mais ça ne compte pas c'est ma meilleure amie et donc ça ne compte pas te dis-je ! Tes bonbons à la menthe tu peux les garder, je prends plus des haribos ou du chocolat ! Fin ma bonté me perdra, moi c'est Charlie, oui un prénom qui peut être mixte, imagine en primaire, j'avais les cheveux cours donc on me prenait pour un mec. Ensuite mon nom c'est Burton et non je n'ai aucun lien avec le génial Tim. Il n'est pas de ma famille et je t'avoue que ça me fait bien chier ! C'est un nom assez répandu, on croirait pas au début mais si. Tu peux pas l'oublier !» La loose ! Ensuite, dis-moi comment les autres t'appellent. «Je suis un chat, qui aime les chiens ! Tu as compris ou je dois te la faire en morse ? Cha pour les intimes, après ça dépend des gens et de leurs humeurs. » Pauv' toi. Maintenant je veux savoir ta date de naissance, et lésine pas sur le lieu ! « J'ai vu le jour... roulement de tambour, t'es pas drôle comme hamster ! J'ai eu un hamster une fois et je l'ai baptisé Sheldon. Et non ce n'est pas un mensonge. Alors j'ai vu le jour le 1août 1989 à Garland, Texas mon cher ! » T'es pas gâté toi. Et en plus bientôt retraité, t'es juste bon à jeter ! Bon alors, faut aussi que tu m'dises sur quoi t'es branché. « Je suis branchée sur des ondes, celle de Rory quand elle est là, sinon y a celle d'Imo, par moment je t'avoue que la connexion merdouille un peu. Sinon j'aime les mecs. Je galère avec eux mais bon que feront-on sans eux ? J'ai déjà embrassé mes copines en soirée mais rien de plus. » Boooooring. C'est pas tout, dis-moi ce qu'il en est de tes relations. « Ah ouais non mais je te le fais pas dire. Actuellement je suis en freelance, je vis en fonction de l'amour de mon patachon. Je vis ma "rupture" avec douleur, ouais enfin bref je suis célibataire quoi, en même temps QUI VOUDRAIS DE MOI ? » Heureusement pour les autres ! Par contre ta tête ne me parle pas, redis-moi depuis quand tu es là. « Hum... la première fois que j'ai mis les pieds à Pasadena je devais avoir quoi ? 11 ans ou alors 12, je sais plus trop. J'y suis restée environ 6 ans et après j'y suis revenue y a deux ans. » J't'ai à l’œil, n'touche pas à mes noisettes ! Je trouverai toujours un moyen de te châtier. Tu deales quelle genre d'affaires déjà ? « Actuellement étudiante en lettres. Je compte faire je ne sais pas quoi de ma vie mais on verra bien. Il faut pas se décourager qu'ils disent. Les profs hein. Pas moi. » Qu'est-ce que je m'ennuie ici. Parle-moi un peu de toi. « Caractère. » Ça envoie du lourd... ! Une dernière avant ton bonbon à la menthe, dis-moi qui se bat pour toi. « J'ai plus de orange dans mes persos ce qui tombe assez bien vu que c'est une Phoebe et non je n'ai pas calculé mon coup.» Ok, tiens le voilà ton bonbon à la menthe !
Question pour un champion !
Qui de la poule ou de l’œuf est venu en premier ?
Chez vous, impossible de dîner en famille sans ?
Dans votre sac de voyage, vous avez déjà rangé ?
Pourquoi un corbeau ressemble-t-il à un bureau ?
Le soir, vous vous détendez devant votre émission de télé préférée ?
La dernière fois que vous avez fait l'amour, c'était ?
dis-moi ce que tu caches sous ton tablier
pseudo : à ton avis ? Bientôt on va croire que je suis le fo à moi toute seule présence : Tu oses me demander ? le secret d'alvin : Jt'ai déjà dit qu'il m'aime et qu'il vénère les carottes ! commentaire sur le forum : Bah écoute, à ce stade, lui et moi on est intime où l’as-tu découvert : Arrête tu te répètes l'ami. J'ai mal pour toi. pfff, dis entre toi et moi, t'as bien une préférence parmi les admins ? bon moi j'voterais pour moi (Sheldon) et après Alvin, les quatre autres sont des proies trop faciles. On les met trop rapidement dans le lit, ils préfèrent leur vie remplie de pêchés que la science : Cappie c'est entièrement sa faute .
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Dernière édition par Charlie Burton le Dim 23 Fév - 21:57, édité 4 fois
Charlie Burton
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Sujet: Re: That's just a crazy girl in that world Dim 23 Fév - 17:39
i'm done
Tu veux que je te parle de ma vie ? Tu sais il n’y a pas grand-chose à dire dessus. Je suis une fille lambda, enfin ça dépend des jours. Je sais que je suis parfois différente que ça soit dans ma façon de penser ou bien d’agir. Je n’aime pas être comme les autres, les moutons je les aime dans les champs mais pas dans ma vie. Pourtant parfois j’aimerai être comme eux. Qui sont eux ? Les gens heureux à qui tout réussi mais je ne suis pas eux et je pense que je ne serais jamais eux. Dommage ? Oui et non. Je travaille dur -enfin ça dépend des jours- pour obtenir ce que je veux ou désire, je travaille dur sur moi pour me convaincre que tout ira bien même si j’en doute. Non ma vie n’est pas rose, simple ou idyllique. Je ne plains pas, je sais que des gens ont vécu pires. J’aurai pu vivre pire, j’aurai pu n’être plus là sans elle. Enfin tant de chose que j’aurai pu faire ou être avec des si. Hélas ce mot ne refait pas le monde, encore heureux, t’imagines si à chaque fois que tu prononces le mot « si » quelque chose change ? J’appelle Shawn Spencer tout de suite, c’est qui lui ? Un personnage de série. Oui je suis une sérievore et assez fière de l’être. Malheureusement, je ne pense pas que ça puisse m’aider dans la vie. Dommage. Bon il faut que je parle de moi, par où commencer ? Par le début ça serait assez bien.
J’ai eu une enfance à peu prêt normal jusqu’à mes huit ans. Enfant casse-cou, je n’avais peur de rien, ni personne. J’étais assez fofolle, les gens en avaient marre, je les épuisais en permanence. Non je n’étais pas un enfant qu’on qualifie d’hyperactif, enfin pas que je sache. J’ai toujours eu un faible pour les sucreries mais ça n’a rien n’avoir dans le fait que je sois une intenable. Non je pense que c’est dans ma personnalité, j’ai toujours plus ou moins voulu montrer que j’existais, enfin à ma façon. Petite j’étais heureuse, oh ça oui ! Fille unique, j’avais l’amour de mes deux parents, un papa qui était mon héros, mon modèle, ma valeur sûr. Il était grand, enfin il l’est toujours, il faut sérieusement que j’arrête de parler des gens au passé comme s’ils étaient morts, pour moi il mesurait deux mètres et les gens grands m’ont toujours impressionnées et fascinés. J’aime la grandeur. La preuve je ne suis pas une naine mais ça n’à rien n’avoir. Je touchais à tout, je démontais tout et bien sûr je ne savais pas comment les remonter. Ce qui me valait bien souvent des réprimandes mais bon on s’y faisait. J’ai eu des amies, qu’on se rassure, je n’étais pas isolée. Oh ça non, je n’aime pas être isolée ou seule, même si dans le fond, du fond, du très fond je me sens seule. Autre histoire, autre époque, on verra ceci plus tard. J’avais un groupe d’amies et même que j’ai eu mon premier amoureux, les schémas classiques de l’école primaire. J’étais bien, j’étais heureuse et je m’épanouissais dans une sphère qui me convenait. J’étais loin de me douter de ce qui se tramait autour de moi, déjà à cette époque je vivais dans ma bulle. Sauf que là les gens faisaient tout pour me protéger. C’était ma petite forteresse de solitude, je n’étais pas une enfant pourrie gâtée, non rapidement j’ai connu les valeurs de l’argent et de l’éducation. Je voyais ma cousine qui obtenait tous les jouets, je ne comprenais pas pourquoi. Et puis mes parents m’ont expliqués, on m’a toujours dit que l’argent ne fait pas le bonheur, je pense que c’est bien vrai. La preuve ma cousine ne pense qu’à l’argent, sans avoir eu une once d’éducation et moi je n’ai peut être pas eu toutes les barbies à la mode mais j’ai eu une éducation et surtout des parents aimant et présent. De toute façon, les barbies je leur faisais leurs fêtes, nouvelles coiffures, nouveaux habits, une fête dans ma chambre en compagnie de mes playmobiles ! Oui je l’avoue j’ai toujours été un garçon manqué, je me souviens même avoir demandé à mon père pourquoi je n’étais pas équipée comme lui. Je crois que mes parents m’ont donnés les mauvais gênes mais je m’y suis habituée avec le temps. Qu’on se rassure, je n’ai jamais voulu me faire implanter un pénis ! Loin de moi cette idée. Et puis la vie a basculé, elle m’a montré jeune qu’elle était cruelle, dure et impitoyable. J’aurais pu connaitre tout ceci plus tard mais non elle voulait me montrer à l’âge de 9 ans, ô combien elle était cruelle et qu’elle m’en ferait voir de toutes les couleurs. Cette année là, j’ai perdu mon ange gardien, celui qui me faisait sourire simplement, celui qui était un modèle de bravoure et de courage à mes yeux. Celui qui me fascinait par sa différence mais qui vivait comme tout le monde. Celui pour qui j’aurais donné mes jambes, mes bras, mon cœur, mon oncle. La maladie l’a emporté et ma vie a basculé du jour au lendemain. Divorce de mes parents puis bataille, moi au milieu ne comprenant pas ce qui se passait. Ne comprenant pas pourquoi papa était si dur, pourquoi maman était si distante. Pourquoi j’étais moi aussi intolérante vis-à-vis de mon père
Le temps a passé. N’effaçant pas toutes les blessures, j’ai dû dire au revoir à mon groupe d’amis, nouvelle vie, nouvelle maison, nouveau gens. Il faut dire que depuis ma naissance, les déménagements je connais plus que bien. J’avais déjà vu 4 états à l’âge de mes 6 ans il me semble. Non mes parents n’étaient pas des hippies ou nomades, juste qu’on vivait prêt des montages et que la vie ne nous a jamais gâté. Elle ne m’a jamais gâté en l’occurrence. Est-ce qu’elle me testait déjà ? Aller savoir. A chaque nouvelle ville, de nouvelle rencontre. J’arrivais à m’adapter un peu partout, un vrai petit caméléon. Pourtant mes amies me manquaient, je tentais de rester en contact avec eux mais la nouveauté m’a toujours attiré. Oubliant le reste et puis les gens changent, les souvenirs restent et le temps passe. Il efface des choses et en ramène d’autres. Pasadena fut pour moi l’endroit de tous mes souvenirs, la meilleure des villes ou j’ai pu habiter. J’y ai vécu avec ma mère pendant six ans, avant que l’on déménage encore. J’ai dû une fois de plus dire adieu à tous ses gens que j’aimais tant. Cette fois ci les choses étaient différentes, ma mère refaisait sa vie, elle voulait se rapprocher de l’homme qu’elle aime. C’est pourquoi on a dû dire au revoir à Pasadena et bonjour à Austin. J’y ai laissé mon cœur là bas, jurant qu’un jour j’y reviendrais. Et j’ai tenu ma parole mais on verra ça plus tard. Austin fut l’âge du changement, de la métamorphose pour moi. L’âge de l’adolescence, des premiers émois et des premiers amours. C’est aussi l’âge ou j’ai voulu défier l’autorité, l’âge de la rébellion et surtout l’année ou j’ai compris que mon père n’en avait que faire de moi. J’ai cherché par tous les moyens de m’échapper de lui. J’avais dit petite que je ne boirais et fumerais pas. Je voulais être un mixte de mes parents, ma mère ne fumait pas et mon père ne buvait pas. J’étais jeune et surtout naïve à cette époque. J’ai fait une rencontre qui a changé ma vie, du tout au tout, d’habitude on dit que les rencontres sont bonnes… Je ne sais pas s’il peut être qualifié de bon pour moi. J’étais en premier année et lui en dernière, il a longtemps flirté avec moi pour obtenir un oui. Je lui ai finalement dit oui après un long moment d’attente. Je pensais qu’il serait gentil, trois jours plus tard, je n’étais plus assez bien pour monsieur. Qu’importe, je vivais un autre événement dans ma vie, il faut dire que les garçons n’ont jamais été le centre de ma vie. Je n’ai pas pleuré de cette rupture. Il attendait de moi que je revienne, ce que je n’ai pas fait. Je venais de perdre mon grand-père, même si je n’étais pas proche de lui, j’avais mal de voir ma mère souffrir autant. C’est là qu’on se dit, en quoi il a changé sa vie ? Et bien il n’est pas resté qu’un mec de trois jours dans ma vie, mais plus trois ans. Ce fut mon premier amour, même si maintenant je me demande sincèrement si j’ai été amoureuse de lui. Il m’a tout fait vivre… Je n’étais plus moi-même, je voyais mon ombre, l’ombre de celle que j’étais… Je m’en foutais, je plaisais à un mec, il m’introduisait dans sa vie. Il n’a jamais rien ressenti pour moi, j’ai compris ça bien plus tard. Une fois que je fus complètement guérie de lui. Il m’a fallu du temps mais j’y suis arrivée. Toutes mes amies ne pouvaient pas le voir. Elles disaient qu’il me changeait, je n’étais plus la même. Je buvais, je faisais le mur, je n’étais plus attentive, à dire vrai, j’en avais plus rien à faire de l’école. Je n’y arrivais plus, je séchais je ne savais plus ce que je voulais faire. Adieu la fille sage qui avait pour but de devenir journaliste. Je n’écoutais plus ce que mes amies me disaient, leur tournant le dos. Pour lui… Je ne sais pas si je regrette, d’un côté oui mais d’un côté non. Il fallait que je passe par là pour me retrouver et pour être celle que je suis aujourd’hui. Et puis bien sûr j’ai touché le fond... A croire que je faisais sans cesse les mauvais choix.
Je ne savais plus qui j’étais et par-dessus tout mon image me dégoûtait. Je voulais en finir. Je ne trouvais pas ma place dans ce monde. Je ne savais plus ou j’allais et ce que je faisais ici. Je voulais le retrouver lui. Je voulais être auprès de lui, je voulais être loin. Je ne voulais plus que son sang coule dans mes veines. Je ne voulais plus vivre. J’ai commencé en douceur, les bras, voir le sang qui glissait le long de mes bras me procurait tellement de plaisir. Je souffrais mais j’avais moins mal. J’avais besoin de ça. J’avais besoin de me faire mal. Je ne supportais plus de me voir pleurer, je voulais hurler, je voulais que cette colère sorte. J’en avais marre de démonter tout dans ma chambre ou dans l’appartement. Je voulais me faire souffrir et qu’il n’existe plus. Ils ont été les causes de mes actes, pas qu’un chagrin d’amour. Non je ne suis pas le genre de fille qui tente d’en finir avec la vie parce qu’un mec l’a recalé. Non je n’étais pas et je ne saurais pas ce genre de fille. C’était sa faute à lui, celui qui était mon héros, mon père. Il m’a vu naître, grandir et puis du jour au lendemain il décide que je n’ai plus de place dans sa vie. Il décide de me renier. Je décide de ne plus vouloir exister. Je ne voyais pas ce que je pouvais apporter à ce monde, si mon propre père ne voulait pas de moi pourquoi les autres voudraient ? Et plus la douleur grandissait plus mes envies augmentaient. Je suis passée à un niveau supérieur après les lames, j’ai pris les médicaments et l’alcool. Je n’y allais pas en douceur, je cherchais réellement à mettre fin à mes jours. A croire qu’au fond de moi, je criais à l’aide, puisqu’à chaque fois ma mère m’a sauvé de la vie in extrémiste, j’aurais pu y passer ce soir là. J’étais inconsciente dans ma baignoire, mes bras en sang, droguée, je me sentais partir mais elle est arrivée. Elle m’a sauvé. Sans elle et son amour, je ne serais pas là à l’heure ou je vous parle. Elle a fait bien plus que me donner la vie, elle me l’a sauvé. A ses yeux, j’avais ma place ici. J’ai tenté de me reprendre, de remonter la pente mais se fut dure. Mes amies n’étaient plus là. Je me suis refermée dans un monde, je m’y sentais bien, j’étais à l’abri. Et puis une boule de poile est arrivée dans ma vie. Mon bébé a débarqué, au début je l’ai rejeté et puis à présent je le quitte plus. C’est simple, il est l’homme de ma vie, le premier qui le critique s’en prend une. Il me suit partout, il boit mes paroles, il ronfle pire qu’un mec. A dire vrai, il est pire qu’un mec, non sans rire, il prend toute la place et ronfle comme un camionneur. L’horreur ! Le truc c’est que je lui pardonne tout, un simple regard et je fonds. Surtout quand je suis en manque d’amour, il sait parfaitement avoir son monde et moi quand il veut. C’est un vrai filou, mon filou, mon amour, mon bébé, mon patachon. Son prénom ? Chester. Oui comme le chat dans Alice.
Quand je dis que c’est le seul homme de ma vie, c’est vrai. J’ai rencontré un homme, un homme bon, gentil, qu’on peut qualifier de parfait. Juste qu’il ne l’était pas pour moi. Une relation trop fusionnelle. Je suis passée d’une relation destructive à une relation beaucoup trop fusionnelle. Sans connaître le juste milieu. Quand j’y repense à présent, je ne sais pas si j’ai été réellement amoureuse de lui, du moins comme lui l’a été de moi. Je me pose souvent la question. Je sais comment je fonctionne en amour. Je sais qu’en le revoyant, je ne ressens rien, nos souvenirs me manquent pas. Rien me manque de cette relation, pas même le sexe, non surtout pas ça. Pourquoi ai-je été avec lui ? Je ne sais pas. Peut-être que je cherchais un moyen de me rattacher à quelqu’un, ma mère vivait des changements, il n’y avait plus de nous. Elle était en train de créer son nous et je me suis sentie rejeter comme ci je n’avais plus ma place. Il était là. Je me suis raccrochée à lui, comme on se raccroche à une bouée de sauvetage. Est-ce que durant ses deux ans, j’ai été heureuse ? Je ne sais pas. J’ai arrêté mes études et je suis entrée dans le monde du travail. J’avais besoin de voir un autre monde. Il ne m’a pas apporté grand-chose, peut-être de la stabilité et une autonomie mais hormis ça je ne vois pas. J’aspirais à plus. J’aspire à une relation complice, passionnelle. Une relation ou je pourrais m’épanouir et exister telle que je le suis. Seulement qui suis-je ? C’est une bonne question. Je n’arrête pas de me remettre sans cesse en question. Je sais que je pense trop, beaucoup trop. Ce qui me gâche la vie et mes nuits. Je suis comme ça. Je tente de passer outre mais c’est dur de chasser son naturel, car c’est bien connu qu’il revient vite au galop. Ce qui m’a aidé à voir claire dans ma relation ? Des vacances avec ma Rory, repartir à zéro. Elle a toujours été là pour moi et inversement. Je crois que c’est l’une des seules qui me connaissent le mieux. Ses vacances m’ont fait un bien fou et j’ai compris que j’étais enfermée dans une routine. Que je ne vivais pas, j’étouffais tout simplement, j’ai enfermé dans une cage. J’attendais le bon moment pour sortir et ce break m’a permis de le comprendre. Un grand changement opéra à mon retour. Changement de ville, d’appartement, de coiffure et je repris le chemin des cours. Se fut dur mais j’en voulais. Je voulais ce changement, je voulais cette autre vie, elle me tendait les bras. Alors j’ai foncé et j’ai commencé à exister pour moi, rien que pour moi et non au travers des autres.
Il m’a fallut un an pour enfin m’accepter et me remettre bien. Plus d’envie, hormis celle d’avoir une vie à moi et de profiter. J’ai rencontré d’autres personnes, qui m’ont sauvé et aidés. Des amies en or. Je me demande parfois pourquoi moi ? Je n’ai rien à offrir, alors pourquoi sont-elles si adorables et gentilles avec moi ? Je me dis que je ne mérite pas leurs amitiés et puis je n’y songe plus. Heureusement qu’elles sont là. J’ai refais ma vie doucement, acceptant qui j’étais. Et surtout, je suis revenue là où je me suis toujours sentie le mieux. Pasadena. La ville de mes plus beaux souvenirs et là ou je m’y sens bien. Vie étudiante. Vie à moi. Soirée. Étude. Et puis les garçons. Deux m’ont marqués. Deux histoires de trois mois. Première fois que je me sentais désirée, que je plaisais et pas à n’importe qui. Laissez-moi vous dire que mon ex est un canon ! Pffiou je n’arrive toujours pas à croire qu’il est voulu de moi. Il faut voir le phénomène pour comprendre de quoi je parle. Et puis ils m’ont tout deux aidés à comprendre ce que je recherchais, ce que je voulais dans une relation. Je m’étais ouverte au monde à nouveau et ainsi aux garçons. Je vous dis : changement. Je ne regrette rien. Il faut vivre avec son temps et se faire une jeunesse. Ce n’est pas à quarante ans que je devrais réagir. Il sera bien trop tard, autant profiter maintenant. J’ai été emprisonné pendant trop longtemps, à présent je m’amuse. Je tente de déjouer les plans de la vie. Je me dis qu’elle m’a assez joué de tour, que je mérite moi-même ma part de bonheur. Après tout, pourquoi pas moi ? CODES BY CATSOON
Je ne suis pas fou ! Ma mère m'a fait passer des examens.
Dr Sheldon Cooper
◊ STATUT : en couple avec Alvin ! ◊ TU DORS OÙ CE SOIR ? : je suis le grand manitou, je ne délivre pas mes recettes. ◊ AVATAR : Jim Parsons ◊ CRÉDIT : (c) catsoon & Tumblr
Sujet: Re: That's just a crazy girl in that world Ven 14 Mar - 10:51
tu es validée
Le verdict est tombé, j'ai bien réfléchi mais c'est ainsi... celles qui ont été désignées comme étant tes mentors sont... PHOEBE BUFFAY & SA GUITARE ! Je sais ça t'enchante ! Moi je m'en fiche. Et voilà qu'Alvin est jaloux, je serais toi, je me méfierais des projections de noisettes... ! Maintenant que tu fais partit des nôtres, enfin surtout des leurs, je t'invite à faire tes demandes de rang, de logement, de ce que tu veux. Et tu vas aussi pouvoir te faire des amis. Moi je n'en ai pas besoin, je me suffis à moi-même. Et puis y a toujours Alvin. Et puis si il te manque quelqu'un, tu peux toujours aller lancer une annonce. Enfin eux, ils appellent ça scénarios.
Je crois que tout est dit, il est temps pour toi de voler de tes propres ailes (j'ai jamais compris pourquoi on dit ça) et de t'amuser comme le font tous les autres ! Bon jeu, et ne deviens pas trop fou ! Je suis la seule personne lucide ici... !